Recueils
d’études scientifiques
Voici une sélection d’articles qui illustre les avantages du maintien d’une humidité relative de 40-60%RH pour la santé et le bien-être de l’Homme.
“Les simulations ont montré qu’une humidité de l’air inférieure à 30 % entraînait une quantité de particules aérosolisées plus de deux fois supérieure aux niveaux de 60 % ou plus.”
| Titre: Japan supercomputer shows humidity affects aerosol spread of coronavirus (2020) |
| Auteur(s): Makoto Tsubokura |
“Nous constatons que le SRAS-CoV-2 survit le plus longtemps à des températures basses et à des humidités relatives extrêmes ; la demi-vie médiane estimée du virus est de plus de 24 heures à 10 °C et 40 % d’humidité relative, mais d’environ 1,5 heure à 27 °C et 65 % d’humidité relative.”
| Titre: Mechanistic theory predicts the effects of temperature and humidity on inactivation of SARS-CoV-2 and other enveloped viruses (2020) |
| Auteur(s): Dylan H. Morris, Kwe Claude Yinda, Amandine Gamble, Fernando W. Rossine, Qishen Huang, Trenton Bushmaker, Robert J. Fischer, M. Jeremiah Matson, Neeltje van Doremalen, Peter J. Vikesland, Linsey C. Marr, Vincent J. Munster, and James O. Lloyd-Smith |
“L’exposition à l’air sec altère la défense de l’hôte contre l’infection par la grippe, réduit la réparation des tissus et provoque une pathologie dépendant de la caspase.»
| Title: Low ambient humidity impairs barrier function and innate resistance against influenza infection (2019) |
| Author(s): Eriko Kudo, Eric Song, Laura J. Yockey, Tasfia Rakib, Patrick W. Wong, Robert J. Homer |
“Des recherches antérieures ont montré que, à des températures intérieures typiques, une humidité relative (HR) supérieure à 40 % est préjudiciable à la survie de nombreux virus, y compris les CoV en général, et il a été démontré qu’une HR intérieure plus élevée réduit le virus de la grippe infectieuse dans les toux simulées .»
| Titre: 2019 Novel Coronavirus (COVID-19) Pandemic: Built Environment Considerations To Reduce Transmission (2019) |
| Auteur(s): Leslie Dietz, Patrick F. Horve, David A. Coil, Mark Fretz, Jonathan A. Elsen, Kevin Van Den Wymelenberg |
“L’augmentation de l’humidité de l’air intérieur peut avoir un impact positif sur la qualité de l’air intérieur perçue, la symptomatologie oculaire et, éventuellement, la performance au travail dans un environnement de bureau ; cependant, les études d’inhalation chez la souris ne montrent pas d’exacerbation de l’irritation sensorielle des voies respiratoires par une faible humidité.»
| Titre: Indoor air humidity, air quality, and health – An overview (2018) |
| Auteur(s): Peder Wolkoff |
“Nous avons observé une réduction significative (p < 0,05) du nombre total d’échantillons positifs au virus de l’influenza A (air et fomites) et des copies du génome viral lors de l’humidification par rapport aux chambres témoins.»
| Titre: Humidity as a non-pharmaceutical intervention for influenza A (2018) |
| Auteur(s): Jennifer M. Reiman, Biswadeep Das |
“Cependant, au cours des dernières années, une série d’études passionnantes se sont concentrées sur l’humidité absolue et ont démontré des corrélations très significatives avec la survie virale et les taux de transmission, tant en laboratoire que dans des modèles épidémiologiques.»
| Titre: Influenza and humidity: Why a bit more damp may be good for you! (2015) |
| Auteur(s):Jane A. Metz, Adam Finn, (Journal of Infection 71, S54-S58) |
“Le maintien d’une humidité relative intérieure > 40 % réduit considérablement l’infectivité du virus aérosolisé.»
| Titre: High Humidity Leads to Loss of Infectious Influenza Virus from Simulated Coughs (2013) |
| Auteur(s): John D. Noti, Francoise M. Blachere, Cynthia M. McMillen William G. Lindsley, Michael L. Kashon, Denzil R. Slaughter, Donald H. Beezhold |
“Il a été démontré que de nombreux virus aéroportés sont sensibles à l’humidité ambiante, mais les mécanismes responsables de ce phénomène restent insaisissables.»
| Titre: Mechanisms by Which Ambient Humidity May Affect Viruses in Aerosols (2012) |
| Auteur(s): Wan Yang, Linsey C. Marr |
” En conclusion, la saison affecte de manière significative les expositions microbiennes intérieures, qui sont influencées par la température, l’humidité relative et les taux de renouvellement de l’air.»
| Titre: Seasonal Variations of Indoor Microbial Exposures and Their Relation to Temperature, Relative Humidity, and Air Exchange Rate (2012) |
| Auteur(s): Mika Frankel, Gabriel Bekö, Michael Timm, Sine Gustavsen, Erik Wind Hansen, and Anne Mette Madsena |
“La relation entre l’inactivation et l’humidité relative n’était pas monotone, et la survie ou l’effet protecteur était plus important à faible humidité relative (20 %) et à forte humidité relative (80 %) qu’à humidité relative modérée (50 %).»
| Titre: Effects of Air Temperature and Relative Humidity on Coronavirus Survival on Surfaces (2010) |
| Auteur(s): Lisa M. Casanova, Soyoung Jeon, William A. Rutala, David J. Weber, and Mark D. Sobsey |
“Des études de recherche en laboratoire indiquent que les virus de la grippe présents en aérosol survivent plus longtemps dans des conditions de faible humidité relative (HR).»
| Titre: Modeling the airborne survival of influenza virus in a residential setting: the impacts of home humidification (2010) |
Auteur(s): Theodore A Myatt, Matthew H Kaufman, Joseph G Allen, David L MacIntosh, M Patricia Fabian, James J McDevitt
“En utilisant le cobaye comme hôte modèle, nous montrons que la propagation en aérosol du virus de la grippe dépend à la fois de l’humidité relative ambiante et de la température.»
| Titre: Influenza virus transmission is dependent on relative humidity and temperature (2007) |
| Auteur(s): Anice C Lowen, Samira Mubareka, John Steel, Peter Palese |
“Des études indiquent qu’une HR d’environ 40 % est meilleure pour les yeux et les voies respiratoires supérieures que des niveaux inférieurs à 30 %. L’HR optimale peut différer pour les yeux et les voies respiratoires en ce qui concerne la dessiccation des membranes muqueuses.»
| Titre: The dichotomy of relative humidity on indoor air quality (2007) |
| Auteur(s): Wolkoff P, Kjaergaard SK. |
“Ces résultats suggèrent que pour éviter la sécheresse des yeux et de la peau, il est nécessaire de maintenir une HR supérieure à 30%, et pour éviter la sécheresse de la muqueuse nasale, il est nécessaire de maintenir une HR supérieure à 10%.»
| Titre: Physiological and subjective responses to low relative humidity |
| Auteur(s): Sunwoo Y, Chou C, Takeshita J, Murakami M, Tochihara Y. |
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